Dans une interview accordée à « So Foot », l’attaquant du Racing Club de Strasbourg, Stéphane Bahoken, parle de la fin de saison du club alsacien ainsi que les raisons de sa venue en 2014 :
Le maintien n’est pas encore assuré, mais le Racing n’est pas l’équipe la plus mal lotie…
« C’est vrai. On compte 34 points, il reste cinq matchs, avec un calendrier pas facile. Mais je suis optimiste. Pourquoi ? Car on fait du jeu. Je prends l’exemple de Dijon. Cette équipe marque beaucoup de buts. Elle en encaisse aussi. Mais elle prend des risques, et le résultat, c’est que son maintien, qui est quasiment acquis, elle l’aura obtenu par le jeu. Moi, cette philosophie, qui est aussi celle de Strasbourg, me plaît. évidemment, on prend pas mal de buts. C’est l’apprentissage de la Ligue 1, on commet des erreurs de concentration. La L1 demande beaucoup de rigueur. Et puis on a l’avantage d’avoir un public extraordinaire. C’est vraiment un plus pour nous. »
D’ailleurs, quand vous avez quitté Nice en 2014, Strasbourg évoluait en National. Si ce n’est pas le Racing, vous acceptez d’aller jouer en troisième division ?
« Non. J’ai accepté, car c’est Strasbourg, un club qui compte dans le football français. C’était pour moi le bon endroit pour progresser, jouer et marquer. J’ai fait deux saisons en National, j’ai joué, j’ai marqué. Même chose lors de notre année en Ligue 2, marquée par notre accession en L1. Je ne regrette évidemment pas mon choix. Bien sûr, il y aura toujours un petit regret, celui de ne pas avoir percé à Nice, mon club formateur. J’ai été souvent éloigné des terrains à cause des blessures. à un moment, j’étais aussi en concurrence avec Dario Cvitanich. Cela n’aide pas, mais ce ne sont pas des excuses… » Article complet à voir ici.